Mise à jour le 12 mars 2022
"Connard ! Enculé !". C'est par ces injures insensées et sans fondements, emplies d'une haine certaine, qu'un ancien éleveur de cochon en plein air de Plougastel-Daoulas impliquait mon troisième enfant Hoël, alors âgé de 10 ans et témoin de cette agression gratuite, dans la longue liste des "passages à l'acte" que j'avais déjà dus affronter auparavant seul.
le "connard" avec son fils |
J'avais compris depuis longtemps que tous les moyens crapuleux seraient déployés pour porter atteinte à mon intégrité physique ou morale. Je pouvais à la rigueur accepter d'être considéré comme un emmerdeur notoire, d'être qualifié de "destructeur d'emplois" par des serristes en colère, voire de "salafiste vert", même si ces derniers mots ont du sens. Je m'amusais presque de lire que j'étais qualifié par des piliers de comptoir, de "pistard" occasionnel. Soit. Jusqu'à preuve du contraire ce n'est pas un crime, à moins d'être déjà qualifié par la vindicte populaire de délinquant de la route, même si j'eus gravité à pieds dans le bourg.
On a même soupçonné d'être un délinquant sexuel qui harcelait des stagiaires, en lien certainement avec mes pratiques douteuses. La seule stagiaire qui aurait pu être considérée comme porteuse de cette allégation m'a répondu : "J'espère que tu n'as pas pensé que ça venait de moi ?".
Hoël, 12 ans maintenant |
D'autres esprits étroits me voyaient séjourner à Bohars, en H.P. chez les "fous", chez les déséquilibrés sociaux irrécupérables, aidés en cela par les calomnies répandues par des personnes répugnantes comme Yves Garçon, adhérent socialiste et prof universitaire, qui distille à qui veut le croire que "je suis un malade, que je suis complètement fou". Cet homme calomnieux, qui refuse de présenter ses excuses, a comme ami une autre figure fantomatique d'un engagement politique qui se résume au néant, Serge Borvon (EELV), qui portât plainte contre moi pour diffamation, mais qui n'apprécie surtout pas que l'on s'en prenne à sa petite personne invisible. Sachant à quoi je m'exposais tout de même, je fus considéré comme un délinquant par la justice avec un rappel à la loi et son corollaire de prises d'empreintes et de photographies subjectives, une mise en scène digne d'un mauvais polar.
Mon fils, participant un chantier de dépollution |
je m'attendais moins à subir le dispositif répressif de la cellule "Demeter" lorsque je fus interpellé par la gendarmerie sur la voie publique à la demande d'une horde de serristes extrêmement excités. Là encore j'avais le sentiment diffus d'être perçu comme le délinquant à cadenasser quand les agents de l'ordre voulurent m'interroger sur mes motivations. C'est étonnant de voir à quel point, les représentants de l'ordre sont complaisants avec de potentiels industriels pollueurs, et peuvent ignorer les signalements d'une sentinelle de l'environnement, par ailleurs victime indirecte et directe de préjudices moraux et financiers mais dont les plaintes sont classées sans enquêtes.
Si je compile ainsi ces actes qui n'ont d'autres buts que de discréditer ma personne, et plus surement de vouloir introduire des spasmes de terreur dans mon psychisme (j'en oubliais presque les agressions physiques) c'est que je veux d'abord faire savoir à mon fils que non, ce n'est pas moi, son père, le délinquant multirécidiviste. Je vais avoir besoin qu'il le comprenne et qu'il soit rassuré en apprenant que je fais à nouveau l'objet d'un signalement au parquet de Brest pour "dénonciation calomnieuse" portée par David Moan, porte-étendard de l'opposition amorphe du conseil municipal de Plougastel, relation proche d'Yves Garçon et de Serge Borvon. Quoi d'étonnant ? Ils sont de la même veine, issue de la petite bourgeoisie de gauche qui ne veut pas dire son nom.
David Moan considère que dans l'article intitulé "Un élu de Plougastel bénéficie-t-il un emploi de complaisance dans une mairie socialiste ?" publié le 16 décembre 2021 sur mon blog (aujourd'hui retiré pour des raisons de pression du tribunal judiciaire de Brest), je bafouerais son honneur et je porterais atteinte à sa réputation, ou peut-être est-ce autre chose car je parviens pas à faire le lien entre mon article et son accusation. Mais il a le droit de le penser et de se sentir outragé. Après tout, c'est ce qui les caractérise le mieux, l'outrage ! Tout comme j'ai le droit d'exprimer mes doutes. Car plus qu'une liberté d'expression que l'on tenterait de bâillonner c'est mon droit de douter de l'objectivité incorruptible du recrutement d'un protozoaire zélé, issu des rangs de socialistes finistériens habitués à se renvoyer l'ascenseur... social et qui fonctionne bien quand il s'agit d'eux.
J'en ai profité pour réclamer des comptes à la mairie de Quimper (voir courrier ci-contre) afin de préparer la suite. Car encore une fois je suis condamné par "un rappel à la loi" pour diffamation. Mais contrairement à la plainte de sieur Serge Borvon, dont je savais les conséquences peu contraignantes, je n'accepte plus ce jeu de dupes qui consiste à s'en prendre à un individu qui use de son droit au pamphlet, de son droit à émettre des doutes, de son droit à la caricature politique, de son droit à dénoncer la passivité des élus face à des délits environnementaux. Non, pour mon fils, je ne me terrerai pas, contrairement à d'autres, camouflés dans une pseudo- écologie.
En soi, il est moins risqué de s'en prendre à un individu isolé, marqué du fer rouge de l'infamie, que de s'attaquer de front à de véritables délinquants environnementaux, perçus comme des péquenots belliqueux. Leur passage d'un état de hère à celui d'héroïque à faire de moi un hors-la-loi n'en sera que plus aisé.
Kalon vat dit David,,
RépondreSupprimerLavar ma c'hellan ober un dra
Ken ar c'hentañ tro, Y.